Samuel Prewett est né en 1995 à St Denis Catus. Ses deux parents sont artistes et son talent pour le dessin s’est manifesté dès son plus jeune âge. Il étudie cinq ans aux Beaux Arts de Nantes, en passant par une année préparatoire spécialisée dans la gravure à angoulême.
Samuel dessine comme si le trait le conduisait vers une image, une idée à moitié formée, qui surgit du papier blanc. Il n’y a aucune rupture entre l’imagination et l’harmonie naturelle de la composition. Le « sujet » et l’environnement sont intégrés. Dans ses œuvres, la feuille devient un espace scellé. C’est une bulle, un refuge de créativité protégé du tumulte.
La culture contemporaine et le respect du monde naturel sont présents dans sa production. Le mouvement agité est apprivoisé par des traits fins et contrôlés, qui varient en direction et en intensité grâce à la pression du crayon.
Samuel aime travailler de mémoire à partir de ses carnets de voyage, avec une affection particulière pour la fiction et les distorsions engendrées par l’inexactitude de ses souvenirs.
Après une visite au Montegegro où il fut fasciné par la géologie des montagnes, il commença à intégrer le pli des roches dans les draperies et dans les ciels. Vous pouvez voir le même mouvement se répéter dans une grande partie de son travail.
Plus tard, voyageant avec un groupe d’artistes en Corée du Sud, il s’inspire davantage des ouvriers et du paysage du pays que de la ville.
Inspirée par les beautés complexes des roches nues ou de draps enchevêtrés, Samuel nous laisse entrevoir sa quête de sérénité et son talent de conteur d’histoires. Réalisant plus tard des dessins plus grands en studio, il tire des images de son imagination et de sa mémoire.
Mes inspirations
Après une visite au Montegegro où il fut fasciné par la géologie des montagnes, il commença à intégrer le pli des roches dans les draperies et dans les ciels. Vous pouvez voir le même mouvement se répéter dans une grande partie de son travail.
L’histoire du Tigre et de l’ours transformés en fille fait partie du droit populaire coréen.
Il a étudié et dessiné parmi les Haenyo, les femmes glaneuses de Corée du Sud. Elles plongent en apnée depuis des millénaires et prennent une place cruciale dans le développement de l’île.
Samuel séjourne par la suite sur l’île de la Réunion, inspiré par la majesté des montagnes intérieures il “creuse avec le graphite […] et met des tonalités sombres pour réveiller des choses dans le papier”.
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